Dans un moment de candeur, en vue aérienne de nos esprits, je me prend a rêver encor une fois, pour la pénultième fois, encor et encor.
J’aperçois Dieu, à ma gauche et à ma droite, au dessus et en deçà, il me rassure, me rappel que oui, je suis bien là.
Je persiste et toujours je me désiste a cette violente réalité pourtant si douce lorsque privé.
j'aime à penser que nous ne somme plus roi mais que des pions à la recherche de la mort, pour un moment, un non-instant, encor et toujours sous le signe de l'amour.
Certain l'aurons, d'autre pleurerons, je pleur.
Je pleur mais suis paisible, j'écoute la France sans un jugement, sans une couleur en mon esprit.
Le noir et blanc jonche mes pensés et le sol plat s'est envolé, je murmure que je le sait.
toujours dans les sévices de mes ainés, je tente encor de m'effacer, mais ai-je raison ?
Je l’ignore et m'en déplore, mais j'ai la foi, la mienne, bien personnel et n'en rappel plus au totémisme, c'est dépassé j'aimerais changer.
Je suis fervent, suis un amant, j'ai déconné, ça, je le sait, mais je demeure, encor et pour toujours, dans la candeur de mes pensés.
Cordialement,
Sonen Terpundi