Si j’attrape une brindille entre mes doigts et que je la casse, je me sent puissant.
Si j’écrase une fourmis de mes doigts, je me sent prédateur alpha.
C'est aussi con que ça, je peine, traine, mais finalement garde mes doigts, dans une femme, même, parfois, je me sent roi.
Le monde se traine, il dégénère, mais qui nous tient ? C'est un mystère.
Je pense a moi, je pense a vous, mais qui este vous, que tenez vous, que devenons nous ?
Des brindilles, des insectes, parfois un homme ou dans une femme.
Mais imagine que ce soit toi, qui rentrera ? Qui réalise ? qui dessine donc toute ces lois ?
Surement pas ça, ni toi, ni moi.
Je me rappel dans cette vie, une autre vie. J'aimerais m'y plaire.
Je suis centenaire, contestataire, je prend de l'aire.
Mais je m'y perd, suis sédentaire, des foi mal vue car délétère.
Quand je m’appuie, sur un vieux puits, je vois la vie. celle de tout le monde, celle qu'il confonde, avec ardeur, dans l’âme immonde.
Celle des tortue, déjà si vielle, si elles parlaient, bien trop amère.
J'aimais la mère et l'océan, mais l'une est blonde et l'autre immense, j'ai mal au monde.
Cordialement,
Sonen Terpundi.